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9 décembre 2023 6 09 /12 /décembre /2023 10:42

Trois sciences qui se prétendent telles parce qu’elles utilisent des outils mathématiques : statistiques, corrélations. Parfait pour décortiquer le passé. A condition de ne pas abuser des corrélations qui peuvent démontrer bien des rapprochements sans rien expliquer. Quant à vouloir prédire le futur avec de tels outils, mieux vaut être très prudent. Les échecs passés des prévisions économiques sont là depuis au moins un siècle pour indiquer la fiabilité de méthodes dites scientifiques qui oublient de probabiliser  (ou n’arrivent pas à probabiliser) leurs scénarios du futur. Alors, vous sociologues et climatologues, arrêtez de vous pavaner avec vos prévisions : elles sont intéressantes, elles sont amusantes, mais elles ne relèvent guère de la science.

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28 novembre 2023 2 28 /11 /novembre /2023 11:04

Toutes ces grandes surfaces sont des pollueurs de la vie quotidienne, bénéficiant de l’appui de l’état. Elles privilégient à outrance les consommateurs au détriment des producteurs. L’état y trouve son compte puisqu’il s’agit d’un outil de baisse des prix en faveur de ceux qui fréquentent ce magasins, et qu’il se trouve que dans le désert industriel français les producteurs sont souvent des étrangers dont il ne se soucie que peu.

Dans cette vision à courte vue les rares producteurs français encore existant sont promis à une survie maussade : le phénomène est particulièrement grave pour les agriculteurs, en particulier maraichers, producteurs de lait et de viande; il l’est aussi pour toutes ces PME qui dans des circuits courts produisent les quelques produits qu’elles peuvent encore fabriquer dans un univers très concurrentiel.

La présence de ces grandes surfaces introduit de plus des coûts de structure qui ne sont pas répercutés sur les consommateurs : création de zones qu’il faut atteindre par des moyens automobiles, mocheté proverbiale de ces entrepôts, assèchement des centre ville qui se trouvent réduits à des boutiques de proximité ou de tourisme.

Les premiers craquements se font enfin sentir avec d’une part la crise des hypermarchés qui rebutent par leur gigantisme, leur éloignement patent de tout ce qui favorise l’approvisionnement de proximité; et avec d’autre part l’inquiétude des édiles qui sont soucieux de revitaliser leurs centres villes et de lutter contre une urbanisation mangeuse d’espaces et couteuse dans la construction des infrastructures de plus en plus étalées.

Destructrices d’emplois, bourreaux des producteurs, symboles de l’enlaidissement des périphéries, on leur souhaite, non pas une disparition, mais un affaiblissement de leur tyrannie.

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27 juin 2023 2 27 /06 /juin /2023 12:16

Ecoanxiété : quel temps fera-t-il ce week-end ? je prends une petite laine ?

Ecocide : pêche (massacre de poissons); arrachage des mauvaises herbes.

Ecolâtre : adorateur de Gaïa … homme déconstruit … faune à la poursuite de nymphe.

Ecolittérature : Bucoliques de Virgile. Si le grain ne meurt de Gide. Rapport du GIEC.

Ecomusée : « lieu » où, par des cheminements doux, vous découvrez une arche réceptacle de la biodiversité.

Ecopathologie : on crève de chaud ! les climatologues nous font suer !

Ecoquartier : terrier ; bouge de Notre Dame des Landes ; bergerie du Larzac.

Ecorecette : topinambour et rutabaga sans lardons du cochon d’à-côté, ni épices lointaines.

Ecosensibilité : j’aime le cri du bulot le soir au fond des grottes marines.

Ecoterrorisme : éradication de surmulot (dératisation) ; piégeage des taupes ; critique acerbe du féminisme.

Ecotourisme : du jardin d’Eden au camping des flots bleus.

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16 juin 2022 4 16 /06 /juin /2022 11:04

Le climatologue de service nous annonce avec arrogance en roulant frénétiquement des yeux « on n’a jamais vu ça », et nous prédit avec un chevrotement de satisfaction dans la voix : « et le pire est à venir ». Et les canicules de 1912, 1947, 1632 ? Toutes bien répertoriées, toutes qui ont tué beaucoup de vieillards ou d’enfants. Il serait urgent que cette engeance de pacotille assoiffée de postes et d'influence se débarrasse de son envie de faire du sensationnel.

Oui, il fait plus chaud, comme l’indique le GIEC, de 0,85° à 1,25° en moyenne entre aujourd’hui et 1900. C’est beaucoup pour une moyenne, inutile d’en rajouter en nous serinant des énormités sur des dépassements de 2 à 3 °. Le réchauffement avéré n’implique pas de tenir des discours apocalyptiques ; surtout en extrapolant des courbes sur les décennies à venir, exercice hésitant entre l’astrologie (fausse science) et la prophétie (vraie propagande); surtout en dénonçant la faute du dioxyde de carbone anthropique, ce qui est loin d’être avéré ; surtout en dénonçant la turpitude des pays occidentaux qui ont péché contre Gaïa et doivent réparer alors que les pollueurs sont la Chine et l’Inde ; surtout en mélangeant tous les sujets, le climat, les ressources, la survie des espèces, pour élaborer un salmigondis qui expliquerait tout alors qu'il ne prouve rien.

Le gang des climatologues, qui s’auto-désignent comme experts, ou mieux scientifiques, s’appuient sur des bases fragiles pour nous décrire l’enfer qui nous est promis. On attend d’eux une attitude scientifique qui privilégie l’examen des biais dans les méthodes, les incertitudes dans les mesures, les probabilités dans les prévisions. Serait-ce beaucoup demander que d'exiger du scrupule dans la recherche, de la simplicité dans la présentation et de l'humilité dans la prévision ? 

 

La canicule est une chiennerie que nous servent des médias qui tirent la langue pour trouver un sujet pour affoler les braves gens. Cela prend la suite des catastrophes nécessaires pour émouvoir le bon peuple : la pandémie surestimée, la guerre en Ukraine sublimée, l’extinction des espèces apocalyptique. Rien n’est faux, tout est exagéré jusqu’à l’abêtissement.

 

 

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7 juin 2021 1 07 /06 /juin /2021 15:53

Hybride : véhicule servant à transporter de lourdes batteries d’un point à l’autre.

Voiture électrique allemande : automobiles conçues pour rouler au lignite à plus de 200 km/h.

Eolienne : moulin à vent hachant les petits oiseaux dans un bruit d’enfer.

Panneau photovoltaïque : étouffe terrain qui empêche les rayons du soleil de nourrir le sol.

 

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24 mai 2021 1 24 /05 /mai /2021 11:14

Parmi les grandes causes de notre époque, celle qui me sidère le plus est la défense des animaux. Mais pas de tous, de certains. Autant il serait légitime de protéger l’ours ou le loup, autant chevreaux, agneaux ou veaux passent à la trappe ; les uns parce qu’ils représentent la force, la ruse, la cruauté, et les autres la faiblesse, l’apathie, la peur ? La Fontaine et sa fable est bien loin. S’occuper des mammifères a de toute façon priorité sur les insectes et arachnidés : vous imaginez la réintroduction des scorpions en Provence, la verbalisation pour avoir écrasé une mygale ?

Cette cause animale pue l’anthropocentrisme : plus nous cousinons dans l’arbre du vivant, plus nous nous sentirions obligés de nous en soucier.

Elle a des relents de stigmatisation de tout ce que nous considérons comme laid, comme faible, comme venimeux : une caricature d’un eugénisme affligeant.

Elle veut nous faire avaler que nous ne sommes pas des prédateurs : transformer l’homme en herbivore est la déconstruction de l’histoire la plus énorme que l’on ait inventé.

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24 décembre 2020 4 24 /12 /décembre /2020 17:04

Trois hystéries (la pandémie de la COVID, le terrorisme, le changement climatique) justifient aux yeux de nombre de gouvernements l’assujettissement de populations avilies par la peur de la mort et la crainte de manques dans leur petit confort de consommateur mondialisé. La perfidie des gouvernements en cause est d’utiliser des dangers existants et indubitables pour en magnifier l’importance : le nombre de morts du fait de la COVID qui ne sont pas si nombreux que cela en comparaison du passé, le danger du terrorisme limité à quelques exaltés d’un livre barbare et sans futur, les prétendues courbes extrapolatrices d’un GIEC manipulant de données au mieux confuses. Le bonheur des petits bourgeois, s’ébrouant dans leur village mondial, est de passer sous le joug des contraintes qui leur sont imposées pour parfaire leur joie de mourir en bonne santé, de copuler tous azimuts, d’exsuder leurs bons sentiments.

Insidieusement, hypocritement, toujours pour la protection des « Autres » les régimes évoluent sur la perpétuation de ce cocon de bonheur prévu et édicté par des lois, de décrets, des circulaires. Le décès de la démocratie se déroule sous nos yeux : les privations de liberté, les censures des paroles, les interdictions de travailler sont mises en place non plus seulement pour prévenir avec des mesures proportionnées un danger identifié, mais comme une sorte de mode de vie permanent adapté à la recherche d’une survie minable d’esclaves des peurs entretenues par les idéologues qui sont leurs maîtres : les hygiénistes, les écologistes, les moralistes de la non-violence.

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26 octobre 2020 1 26 /10 /octobre /2020 09:03

Comme des fleurs vénéneuses, les droits les plus divers, les plus saugrenus s’épanouissent dans l’espace politico-médiatique. Le dernier-né est le droit au blasphème : toute les sphères franc-maçonne, libertaire, crypto-marxiste proclament le caractère exemplaire de livrer à des adolescents des dessins obscènes sur la religion musulmane. Le malheureux professeur massacré par un fanatique devient un héros justifiable de la légion d’honneur et d’une cérémonie nationale. La barbarie du crime dont il est victime ne peut justifier la pédagogie absurde qu’il a prétendu mettre en œuvre.

 

Dans cette même catégorie de l’inconscience portée au pinacle, le droit à l’avortement tente de justifier le recours indigne à la médecine par des coucheuses non tarifées. Les méthodes de contraception existent et sont à la disposition de toutes ; elles ne suffisent pas aux paresseuses, aux écervelées, à toutes celles qui refusent in extremis la beauté d’être mères.

 

Et comment définir le droit à l’enfant ? Sinon comme le caprice de femmes androphobes ou d’hommes gynophobes. Pourquoi livrer des êtres humains à ceux qui marchandisent la médecine pour satisfaire leurs pulsions.

 

Et le droit de se marier pour tous ! Comble de la parodie ; monstruosité juridique ; phénomène de foire instauré comme symbole d’une culture agonisant dans le rire destructeur. D’ailleurs qui ne se demande pourquoi s’arrêter devant quelques tabous hors d’âge : pourquoi interdire des unions à l’intérieur d’une famille, entre des espèces différentes, ave des décédés. Rien ne devrait gêner les imagination malades.

 

J’allais oublier le droit le plus sacré désormais : le droit à la parité. Il se limite encore à une parité entre sexe, voire entre ethnies, ce qui autorise déjà des dérapages incongrus sur la religion des quotas au sein des gouvernements, de la légion d’honneur au détriment de toute appréciation sur le mérite. Mais pointent déjà deux objectifs hideux :

  • l’élargissement de la parité pour toutes sortes d’activités ou d’institution comme les artistes dans les musées ou les salles de concert, les écrivains dans les bibliothèques et les librairies, les éboueurs bien entendu, …
  • l’élargissement de la parité pour des catégories parfaitement respectables et défendables comme les gros et les maigres, les blonds et les bruns, les beaux et les laids, …
  •  

Pour compléter cet inventaire de champ de foire il me faut signaler ces droits qui doivent être accordés en dehors de notre espèce. Les droits des animaux pour remplacer l’évidence d’une conduite sans cruauté. Les droits de la Terre (Gaïa comme l’appellent ses sectateurs) et le rime d’écocide pour se substituer à la gestion raisonnable de ses habitants. La furie juridique se revêt de raisonnements souvent peu scientifiques : l’essentiel est de gueuler quelques slogans sur le péril climatique, ou l’extinction des espèces.

 

Tous ces faux droits qui camouflent, qui gênent, qui handicapent les véritables objectifs : le droit de vivre, de se nourrir, de se loger. Et aussi le droit de vivre libre (dont on constate, aujourd’hui, qu’il agonise au nom de la sécurité sanitaire), le droit de s’exprimer librement (qui devient inaudible face à la parole de la nomenklatura et sa lutte contre la haine), le droit de penser librement (qui est aujourd’hui bafoué au nom de la défense de « valeurs » de la république).

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19 juin 2020 5 19 /06 /juin /2020 13:55

La convention citoyenne sur le climat ? D’abord une « convention » pour rappeler, probablement, l’assemblée qui instaura la Terreur dans notre pays voici plus de deux siècles pour y propager la vertu à tout prix. Ensuite dite citoyenne : insister encore plus sur le côté révolutionnaire des nouveaux sans-culottes verts ; ils sont vigilants contre les pollueurs, ils sont sans pitié pour tous ceux qui pourraient avoir des idées différentes de celles qu’ils propagent ; et puis d’ailleurs pourquoi trouver citoyen des gens sélectionnés suivant des critères de sondeurs, ensuite mis au pas par une de organisateurs qui leur ont imposés les limites de l’exercice auquel ils étaient conviés. Enfin le climat ! Il ne serait pas possible de le laisser tranquille ce climat ? Les faux scientifiques qui se baptisent climatologues alors qu’ils sont au mieux des prophètes de malheur , nous bassinent de leurs fausses prévisions ; déjà ils se trompent avec leur prévisions pour la semaine qui vient, alors que penser de ce qu’ils nous prédisent pour les années à venir ; ils tentent aussi, avec un désespoir d’inculte, de nous faire avaler qu’il existe une corrélation entre le réchauffement climatique et l’augmentation de CO2 dans l’atmosphère, alors que si elle existe, elle est bien ténue ; faute de pouvoir démontrer quoique que ce soit, comme les épidémiologistes dingos du Coronavirus ils se réfugient dans la description de scénarios apocalyptiques qui n’ont d’autre utilité que de nourrir des colloques et justifier des subventions.

 

J’aimerais qu’avec les préconisations que ladite convention va voter, soient livrés les noms des participants et les choix qu’ils auront individuellement fait.  Il serait inadmissible et antidémocratique que des gens, choisis au hasard, puissent se réfugier dans l’anonymat après avoir prétendu inventer un monde nouveau pour leurs concitoyens.

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9 mars 2020 1 09 /03 /mars /2020 13:38

Un clou chasse l’autre. Le coronavirus a bouté hors des médias le dioxyde de carbone. En attendant qu’il soit terrassé par des immigrants ou par un tsunami. Greta Thunberg doit maintenant pleurnicher dans son coude et Yann Artus-Bertrand faire de belles images dans le nano-univers. 

La versatilité de l’opinion publique obéit à des pulsions irrationnelles et des experts se ruent vers les micros pour expliquer gravement que le principe de précaution est la clef de voute du monde futur. A un GIEC foyer d’experts autoproclamés, succède un OMS qui proclame des vérités successives et tout aussi invérifiables ; une pathologie commune à ces deux entités issues du mondialisme : le ton de voix sinistre pour bien exprimer le caractère irrémédiable de leurs prédictions, des yeux chassieux comme épuisés par la bêtise de ceux qui refusent de les croire, et des mots qui tombent de leurs lèvres comme autant de comprimés qu’ils savent eux administrer.

Le populisme frétille dans ces discours prophétiques pour mieux flatter l’hygiénisme salvateur, la terre qui ne ment pas et le peuple qui n’obéit pas assez vite aux injonctions vertueuses des prophètes. Qu’il serait bon de débrancher tous ces automates spécialisés dans le bonheur qu’ils veulent nous administrer.

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