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7 février 2016 7 07 /02 /février /2016 10:09

Après les restos du cœur et autres associations pour venir en aide aux malheureux immigrants, il serait temps de fonder les bordels du cœur pour offrir aux pauvres réfugiés travaillés par leurs hormones des prestations gratuites offertes par des travailleuses du sexe volontaires. Un grand pas pour éviter les sinistres affrontements de Cologne entre musulmans en chasse et rhénanes apeurées.

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1 février 2016 1 01 /02 /février /2016 18:27

Le Cap Nègre : insulte étalée ; qu’attend-on pour dire Cap de Couleur.

Le Massif des Maures essaie de cacher que ce pays de Provence fut conquis par des maghrébins au moyen-âge ; afin de mettre fin au déni il faudrait le renommer Massif des Algériens.

Le Mont Blanc est le symbole de l’arrogance du céfran, blanc, qui affirme sa suprématie en affichant sa blanchitude sur le plus haut sommet du pays ; à rebaptiser d’urgence Mont des Esclaves, pour que la repentance soit à la hauteur du crime commis jadis.

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26 janvier 2016 2 26 /01 /janvier /2016 09:21

Un aréopage de professeurs de droit, et de conseillers d’état ont concocté un rapport sur la réforme du code du travail. L’inusable Badinter, s’est chargé de le signer avant qu’il soit remis au premier ministre. Comme nous le précise cette vieille baderne de Badinter dans sa lettre de présentation : « il ne s’est pas cru autorisé à proposer de nouvelles dispositions ou formuler des suggestions … ». Beaucoup de franchise pour un résultat atterrant parce qu'entièrement atteint. Ce comité composé exclusivement de personnes sans la moindre compétence économique, sans la preuve d’une quelconque capacité managériale nous a fabriqué une superbe paraphrase de ce qui était écrit dans les lois. Aucun intérêt.

Que faire de tous ces poncifs pour traiter des problèmes qui concernent :

1° les employeurs avec

- la peur d’embaucher par crainte de ne pouvoir licencier quand il le faut, par crainte des procédures devant les tribunaux faute de clarté dans les lois et règlements,

- la flexibilité sur les horaires pour accompagner l’augmentation ou la diminution des commandes, - la négociation avec des syndicats qui ne sont pas représentatifs .

2° les employés avec

- leur protection dans le cas de travail à distance, de travail en temps partagé,

- leur statut de faux sous-traitant, mais de véritable employé,

- leur autonomie face aux moyens de transmission, de contrôle, de surveillance, actuels.

Mais les vieilles birbes, non seulement n’ont pas essayé de comprendre quels problèmes nouveaux seraient à examiner, mais ont ressorti les principes du XXème siècle les plus hors d’âge :

- le droit au service de santé au travail qui n’a gardé sons sens qu’en de rares usines,

- le droit de grève est cité sans qu’il soit parlé d’un service minimum,

- l’égalité des rémunérations pour un même travail sans allusion à un différentiel de compétences ou de résultats,

- la liberté du salarié de manifester ses convictions, y compris religieuses, sans se poser la question de la coexistence de pratiques culturelles différentes.

Ils n’ont pondu que 61 articles, en prétendant qu’ils ont « une dimension éthique trop souvent méconnue dans la société marchande ». Traditionnelle prétention des petits esprits d’abriter la faiblesse de leurs écrits derrière le panache de grandes déclarations. Qui peut croire un instant que se loge une once de moralité derrière des déclarations aussi creuses que théâtrales que :

- article 10 : « L’employeur exerce son pouvoir de direction dans le respect des libertés et droits fondamentaux des salariés » ; pas de définition de ce qu’est le pouvoir de direction ; pas de définition de ce qu’est un droit fondamental du salarié ; mais passez muscade l’essentiel est de glisser le terme de « respect » quoique l’on ne sache pas de quoi.

- Article 15 : «Les procédures de recrutement ou d’évaluation ne peuvent avoir pour objet ou pour effet que d’apprécier les aptitudes professionnelles » ; ça relève du code du travail l’abolition du droit de cuissage ?

- Article 23 : »les sanctions pécuniaires sont interdites » ; tellement vague que ça ne veut plus rien dire ; toutes sanctions deviennent plus ou moins pécuniaire et se traduisent par des suppressions de primes, d’augmentation ; là encore un principe sibyllin qui est absurde exprimé comme celà; faudrait-il en conclure puisque le principe n’est pas rappelé que les sanctions corporelles seraient autorisées ?

Monsieur Badinter, et toutes les éminences qui ont accepté de servir de laquais à un gouvernement en quête de justification pour ne rien faire, débarrassez le plancher makgré votre talent pour manier la serpillère.

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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 11:26

Pouvait s’imaginer lorsque la culture française était triomphante : tous ceux nés sur notre sol rêvaient d’aller à l’école, de parler notre langue, de disserter sur leurs ancêtres les gaulois. Maintenant que nos modes de vie, de pensée, de parler sont moqués, que notre mémoire est bafouée, comment penser que des hors-sol français ait la volonté de s’assimiler, voire même de s’acculturer. Dans une approche vulgairement raciste, les gaulois deviennent trop blonds pour les enfants issus du Maghreb ou des Antilles ; des niveaux de langue différents se sont créés entre le parler des cités et celui des français de souche, désignant sans conteste celui qui refuse de s’assimiler ; tout est prétexte pour afficher sa différence avec la culture indigène : le thé à la menthe du Sahel, le rock afro-saxon, les foulards et autres vêtements du Proche-Orient, les prénoms de tous les généraux des armées de Mahomet ; les épopées du passé local sont bannies au nom du respect de l’autre : le colonialisme, les croisades, le christianisme.

Dans une telle atmosphère de rejet de notre civilisation, le droit du sol a perdu sa raison d’être : pourquoi vouloir imposer, ou pour le moins attribuer en douce, une nationalité française à des gens qui la méprisent.

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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 11:04

Néologisme particulièrement raté, qui pourtant sied très bien à des pisseuses de lignes comme Virginie Despentes ou Régine Desforges.

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19 janvier 2016 2 19 /01 /janvier /2016 11:48

Valls est ce premier ministre qui parait déjà dépassé et ringard lorsqu’il parle après Macron ; approximatif et non professionnel après Le Drian. Un has been avant même d’avoir réalisé grand chose.

Sapin peut se targuer de la plus sinistre des fidélités : celle à un chef qui dérape sur la pente du chômage.

Fabius a réussi l’exploit d’être le diplomate tout à la fois le plus détesté et le moins craint de ses collègues.

Taubira a trahi tout le monde, sauf le lobby gay. Elle continuera.

Belkacem, une de ces binationales (la marocaine au maroquin) qui se spécialise dans l’éducation. Pauvre éducation.

Marie Sol Touraine : M.S.T. qui contamine tout le système médical français.

Ségolène Royal fait partie de ces eaux usées qu’on ne sait où rejeter : c’est à l’environnement qu’elle serait la moins nocive.

Bernard Cazeneuve, un esprit tellement décidé qu’il en arrive à épouser deux fois la même femme. Bizarre qu’il hésite tant dans son combat contre les indésirables.

Stéphane Le Foll n’est pas si porc, si courge, si gland, qu’il le paraît. D’autres ministres sont pires.

Bien entendu, je n’ai pas cité El Khomri, Pinel, Le Branchu, Pellerin, Kanner, Pau-Langevin parce que tout le monde les oublie. Et c’est justice.

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13 janvier 2016 3 13 /01 /janvier /2016 11:25

N’existent pas. La république est une forme de régime politique. Elle n’a pas plus de valeurs que le despotisme ou la monarchie, ou pour mieux dire elle a au minimum les mêmes intentions téléologiques qui sont de rechercher le bonheur des peuples, la même justification ontologique qui est d’avoir reçu un mandat ou populaire, ou divin, ou sacré, le même mode opératoire qui est d’administrer la justice par l’exercice de la force. Dans ce cadre très vaste, les régimes ne sont ni beaux, ni laids, ni bons, ni méchants, ni intelligents, ni bêtes, seuls peuvent l’être ceux qui les incarnent. Un régime n’est vertueux, ou tyrannique que par le fait de ses dirigeants. Un régime ne peut être préféré à un autre (aurait plus de valeur qu'un autre) que dans la mesure où il favorise l'émergence des gens capables les plus vertueux. Rien ne démontre que la République soit dans ce cas.

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11 janvier 2016 1 11 /01 /janvier /2016 18:51

David Bowie, connais pas. Ce n’est pas une histoire de génération, nous sommes de la même. Ce n’est pas une question de surdité, j’écoute volontiers de la musique. Incapable de citer une de ses chansons. Peut-être en ai-je entendue une sans y prêter attention.

Alors ma surprise en entendant le branle-bas dans les médias pour nous annoncer, ce matin, sa mort : Patrick Cohen, la voix tremblante d’excitation, nous annonçait la nouvelle avec précaution, Claire Servajan nous préparait une édition spéciale ; Valls pleure un artiste hors norme, François Hollande prépare une de ses commémorations dont il a le secret.

Malgré tout ce ramdam, en entendant les quelques commentaires, je n’ai pas plus envie de connaître.

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11 janvier 2016 1 11 /01 /janvier /2016 11:56

Abrogée par François Mitterand pour sauver la peau de Bousquet et autres sinistres comparses.

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11 janvier 2016 1 11 /01 /janvier /2016 11:54

Bassinés avec de prétendus frères et sœurs. Après les curés qui faute de descendance prétendent nous enrégimenter dans une horde fraternelle, voilà maintenant que leurs épigones, les mondialistes du consumérisme ne voient dans les "autres" que des frères et sœurs qui vont manger à la même table, partager les mêmes lits, habiter les mêmes maisons. Vision iréniste qui prétend fonder une famille mondiale sur un principe bizarre d’absence de foyer : il n’est plus question de parents et d’enfants, ce qui pourrait laisser apparaître des principes d’autorité, de respect, de transmission, entre générations ; la fraternité fait fi de tout cela : n’existent plus qu’autodétermination, égotisme, refus du passé ; les conflits disparaissent enfouis dans un prétendu universalisme fait d’un consensus mou autour de la satisfaction de ses besoins primordiaux ; la valeur suprême est la conformité aux mots d’ordre de respect de l’autre (et quand il est bête et méchant ?), de recherche du bonheur (et que faire de l’honneur, de l’abnégation ?), de vie ouverte aux autres (quid des misanthropes, des ermites et autres pessimistes ?).

Je n’ai aucune envie de cette société plus fraternelle ; j’entrevois la prison de prétendus bon sentiments.

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